Meer dan een miljoen boeken binnen handbereik!
Bookbot

Blast

Deze reeks visueel treffende graphic novels dompelt lezers onder in een wereld van rauwe emoties en existentiële contemplatie. Volg de reis van zelfontdekking van de protagonist, waar de realiteit vervaagt met innerlijke demonen. Elke aflevering biedt een diepe meditatie over de menselijke conditie, vaak geplaatst tegen sombere maar toch poëtische landschappen. Het is een reeks werken die de duisterdere facetten van de psyche onderzoekt met compromisloze eerlijkheid en artistieke precisie.

Blast - L'apocalypse selon saint Jacky. Blast - Die Apokalypse des heiligen Jacky, französische Ausgabe
Blast - Grasse carcasse. Blast - Masse, französische Ausgabe
Blast - Pourvu que les bouddhistes se trompent
Blast - La tête la première

Aanbevolen leesvolgorde

  1. 1
  2. 2

    Je mens. Je mens toujours. Je dis que je ne me souviens de rien, que je suis né du matin. Je dis que je comprends, qu'à votre place, sans doute, j'aurais ri aussi. Je mens pour un peu de repos, d'indulgence, pour le pardon de ma dissemblance. Je mens aussi pour ne pas vous massacrer à mon tour. Je mens toujours car, en réalité, je me souviens de tout.

    Blast - L'apocalypse selon saint Jacky. Blast - Die Apokalypse des heiligen Jacky, französische Ausgabe
  3. 3

    « Je mens... Je suis en feu, je suis gris, lourd, crasseux, mais je suis en feu. » Un homme seul dort dans les bois. Masse inouïe de plus de 150 kilos, il est parti un beau matin, laissant sa vie d'avant, à la recherche du blast, ce court instant de perfection, flash improbable, qui survient parfois, lorsque, oubliant sa graisse, il parvient à voler. Après un premier tome prix des libraires 2010, Manu Larcenet signe un immense roman graphique, noir et âpre, d'un humanisme bouleversant.

    Blast - La tête la première
  4. 4

    "Un vent lourd, puant suie et cadavre, gronde sur la route et me glace. L'orage approche. Je ne cherche aucun abri, il n'en existe pas à ma taille. Je claudique au bord du chemin, ivre comme toujours, dans l'espoir que la distance entre nous se réduise, que nos peaux se touchent enfin. Sali, battu, hagard, je repousse le moment où, le souffle court et les pieds meurtris par de mauvaises chaussures, je devrai m'arrêter. Serai-je encore assez vivant pour repartir?" [Source : 4e de couv.]

    Blast - Pourvu que les bouddhistes se trompent